me voila encore, cet homme fait de sable et pourtant
souvent je me dis content, tu te satisferas ce soir
encore une fois de ton poison, et de t'enivrer de son.
dans les ondes de la nuit jai senti le noir me manger, a
pleine dents, en se nourissant du meilleur de mon ame
me laissant, dans ma tour perdue a me tourner le sang,
a me consumer l'ame et le corps incessant, ce que j'eu
encore fait de cet amour, cette etincelle, qui dans un
souvenir lointaingt etait celui qui, m'avais fait vivre plus loin, que ce que jamais tu ne pouras voir, de ce que jamais tu ne pouras dessiner ou ecrire, que ce que jamais tu ne deviendra pas la personne que tu aime tu ne conaitras pas, jamais tu ne peindra, d'amour et de joie, ce dessin incompris et toujours plein de gris.
dans le silence du fond, de la fin de ma vie, je me retrouve ici, a petrir dans mon lit
et les fleurs du matin
et la lumiere du jour ne pouras plus me faire que mourir chaque jour
de reste de ma vie, je me vois incom
pris
cela soneras faible mais justement ce certe
me montreras plus faible que le reste qui ne pus
ouvrir dans les mots le rythme de leurs pas
comme un coeur qui trepasse
je me retrouve encore
en plein arret de masse au moment ou je tombe
et mes ailes arrache
mon oreole levee
ce soir ou je suis nee
ce matin je suis laid
comme un goufre incessant
comme le son qui me pend je veux mourir encore
plus loin et bien plus fort